Anatomie du Coaching

LE COACHIG FAIT COULER BEAUCOUP D'ENCRE... 

ET ce n'est pas un hasard... Dans un monde stable et plus prévisible, les enseignements du passé valent encore pour le présent et le futur reste assez prévisible... Mais qu'en t-il aujourd'hui ? 

Anatomie du Coaching

Réflexion sur la mécanique invisible qui relie la situation actuelle à la situation souhaitée

Il n' y a que 2 conditions fondamentales dans la vie... Cela monte ou cela descend. Le rôle du coach est au fond d'aider a ce que cela monte pour vous !

Introduction

Le coaching est souvent perçu comme un art subtil, à mi-chemin entre écoute, questionnement et transmission d’outils. Mais derrière cette impression, il existe une véritable mécanique invisible qui relie l’état présent à l’état souhaité. Cette mécanique, je l’appelle l’anatomie du coaching.

Elle n’est pas une théorie abstraite, mais une carte du terrain que j’ai tracée après des milliers d’heures d’accompagnement. Une carte qui aide à situer une personne, à comprendre sa dynamique actuelle et à trouver les leviers pour la faire avancer.

Maxime : Le futur est une fiction… jusqu’à ce qu’on s’y engage.


1. Le schéma fondateur : du présent au futur souhaité

Le point de départ est simple : Situation actuelle → Situation souhaitée.

Le coaching se nourrit du futur — une illusion certes, mais une illusion utile. Le présent est trop fugace pour s’y enfermer, et seule la pensée peut créer un champ qui englobe passé, présent et avenir.


2. L’échelle du stress : repérer la zone d’action

À ce schéma s’ajoute l’échelle du stress, qui divise l’expérience en deux zones :

  • Zone positive : intérêt, enthousiasme, action, créativité… On est de cause.

  • Zone négative : antagonisme, colère, peur, tristesse, abandon… On est effet.

Un simple questionnement suffit à situer la personne :

  • « Comment te sens-tu aujourd’hui ? »

  • « Comment aimerais-tu te sentir demain ? »

Maxime : Pour avancer, il faut d’abord savoir où l’on se trouve.


3. Subir ou créer : deux postures face aux problèmes

Les problèmes ne sont pas toujours négatifs :

  • Dans la zone positive, on crée des problèmes en générant une différence de potentiel, moteur du changement.

  • Dans la zone négative, on subit les problèmes, entraîné par les événements.

L’objectif du coaching : faire passer le coaché de subir à créer.


4. La clé énergétique : prendre responsabilité

Un problème est la rencontre de deux forces qui s’opposent. Pour sortir du blocage, il faut se demander :

« De quelle partie du problème puis-je prendre responsabilité ? »

Ce basculement rend au coaché une part de contrôle, même minime, et rouvre le flux de l’action.

Maxime : On ne résout pas un problème en fuyant sa part de responsabilité.


5. Les trois moments universels du coaching

Tout accompagnement se situe sur l’axe passé – présent – futur et répond à trois situations :

  1. Commencer quelque chose : lancer un projet, un job, une relation.

  2. Changer quelque chose : surmonter résistances, crises, perturbations.

  3. Arrêter quelque chose : clôturer une situation qui ne convient plus.

Ce triptyque correspond au cycle universel : naissance – vie – mort.


6. Un outil universel, du pro au perso

Cette anatomie du coaching fonctionne aussi bien :

  • En entreprise (cycle de vie d’un projet ou d’une organisation)

  • Dans la vie personnelle (famille, amitiés, santé, loisirs)

  • Dans le sport, la création artistique, ou toute situation où il faut passer un cap

Maxime : Tous les coachings que j’ai menés se résument à cette logique : savoir d’où l’on part, où l’on va et comment franchir le passage.

Test rapide

En répondant a ce questionnaire flash et faites vous une première idée de là ou vous en êtes...

Questionnaire – Anatomie du Coaching

Anatomie du Coaching — Auto‑évaluation

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